Une étude de l’IEIF montre que sur la base de 41% des entreprises qui se convertissent au télétravail 2 jours par semaine, les espaces de bureaux en région parisienne pourraient gagner 27% du chiffre d’affaires. Dans la zone de bureaux Île-de-France, cela équivaut à une réduction de 3,3 millions de mètres carrés.

Le télétravail peut grandement sauver des affaires en Île-de-France. Dans une étude, l’Institut de l’Immobilier et de la Conservation des Terres IEIF a analysé l’impact potentiel du télétravail sur le parc de logements et la demande de bureaux en Île-de-France. Elle a rappelé: «Si le télétravail peut être envisagé pour réduire le nombre de postes de travail, alors cela n’aura pas d’impact symétrique sur la surface occupée par l’entreprise : le développement d’autres types de postes de travail est vraiment crucial. Afin de développer les interactions essentielles dans la vie de l’entreprise Espace fourni pour la joie, les réunions, la créativité, etc. “

Dans ses recherches, l’IEIF a examiné 4 normes. Premièrement, la proportion d’entreprises qui choisissent de mettre en œuvre une politique de télétravail et de prendre des décisions de manière connexe pour réduire leur empreinte immobilière. Ensuite, ces entreprises ont retenu un nombre moyen de jours pour le travail à distance. Ensuite, le travail de bureau partagé permet le travail à distance dans ces entreprises. Enfin, compte tenu de l’impact de la réduction du nombre de postes de travail liée à l’introduction du télétravail, la surface peut être augmentée et l’aménagement de l’espace de travail doit être repensé, notamment à travers l’aménagement de l’espace collectif.

3,3 millions de m² en région parisienne

Par conséquent, il a remarqué que, combiné à l’impact réel mais pas le plus important de la crise sanitaire, basé sur 41% des entreprises qui passent au télétravail de deux jours chaque semaine, ces entreprises peuvent augmenter leur part de 27%. Pour le parc de bureaux en Île-de-France, cela représentera 3,3 millions de mètres carrés (6,5% de l’inventaire existant, ce qui doublera le taux de vacance actuel), et aura un impact déflationniste de 14% sur l’inflation chaque année.

Pour finir, afin de calculer cet impact, «l’IEIF est la dernière estimation de la surface de bureaux en Île-de-France par l’ORIA (Observatoire régional de l’immobilier commercial), soit un total de 54,5 millions de mètres carrés, soit 50%, soit 9 millions de mètres carrés (en supposant fin 2020 Le taux de vacance est de 6,6%), et compte tenu des emplois de bureau (privés et publics) identifiés en Île-de-France à fin 2020, soit 2,5 millions, ce qui signifie que chaque emploi de bureau occupe en moyenne 20,4 mètres carrés, y compris la part d’espace public.