Les conséquences de la crise sanitaire ont eu des effets sur le marché immobilier. On recherche une meilleure qualité de vie, hors des grandes agglomérations.

Fuir les grandes villes.

Les zones surpeuplées et les grandes agglomérations sont de moins en moins attractives, à commencer par la région parisienne. On remarquait déjà cette redistribution géographique de l’immobilier avant la crise. Désormais, la majorité des Français souhaitent habiter une maison individuelle dans une ville moyenne.

Confinement et télétravail, accélérateurs de décision.

Le télétravail est souvent l’élément déclencheur à la prise de décision. Le télétravail étant une des conséquences de la crise sanitaire qui a conduit à son développement.

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Le Grand Ouest séduit.

Le Grand Ouest de la France séduit de plus en plus les français. Ces villes comme Nantes, Angers, Le Mans ou la côte Atlantique… dessinent la nouvelle carte de France de l’immobilier.

 

 

Des prix et des ventes toujours à un haut niveau d’ici à 2023…

En 2021, dans l’ancien, les prix ont flambé de 6,4 % pour un coût moyen du mètre carré de près de 3.000 €. Si les ventes ont bondi de 34,8 % dans la Creuse en 2021, elles ont en revanche baissé de 5 % à Paris, le seul département à avoir enregistré une baisse de transactions en 2021 !

Des nuages s’accumulent.

L’avenir risque d’être plus compliqué pour les primo-accédants qui risquent d’être les premières victimes si les taux venaient à  augmenter. L’inflation grignote leurs budgets alors que les prix élevés du mètre carré supposent de disposer de revenus toujours plus importants ou d’un capital hérité. Alors qu’avant 2000, il fallait 2,5 ans de revenus pour acheter un bien, il en faut 5 aujourd’hui. Limitant l’accession aux seuls ménages aisés. De plus, les nouvelles règles du Haut Conseil à la stabilité financière, rentrées en vigueur depuis janvier compliquent l’accès au prêt.